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2 décembre 2017 6 02 /12 /décembre /2017 14:00
Appel aux dons - Handimachal - Centre de soins pour enfants handicapés

Chers amis, adhérents, parrains et donateurs,

 

Pour le programme Handimachal pour enfants handicapés créé et géré par notre association dans l'Himalaya Indien, nous venons de mettre en ligne une campagne de collecte de fonds sur la plateforme de crowdfunding Helloasso.

 

Vous trouverez toutes les informations utiles sur la genèse, le statut actuel et les perspectives de ce programme innovant, en cliquant sur le lien ci-dessous.

 

Tout don sur la plateforme, tout partage de l'information auprès de vos contacts, fera la différence. Merci pour votre aide.

 

Dominique Dufau, Vice Présidente

Contact: domidufau@free.fr - 06 79 11 02 23

 

Appel aux dons - Handimachal - Centre de soins pour enfants handicapés

Quelques infos pratiques:

  • les dons enregistrés sur la plateforme HelloAsso donnent lieu à l'envoi automatique d'un reçu fiscal - veillez à bien renseigner le formulaire.

    Attention - l'option "Laisser un pourboire" peut-être désactivée et la somme correspondant à ce pourboire n'est jamais incluse dans le reçu fiscal.

     
  • il vous est également possible d'envoyer un chèque à l'ordre de "Maison des Himalayas" (en précisant qu'il s'agit d'un don pour Handimachal) à notre trésorier, Bernard Papet (84 rue Alphonse Mercier 59000 Lille) - le reçu fiscal sera édité en début d'année prochaine.

 

***************************

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18 novembre 2017 6 18 /11 /novembre /2017 16:38

Chers amis,

Retrouvez les membres actifs de La maison des Himalayas sur notre stand de vente solidaire le 26 novembre à Saint-Jans-Cappel.

Nous vous y attendons nombreux pour un moment de convivialité et de partage de nos expériences dans l'Himalaya.

A bientôt,
Didier Copin, Président

26 novembre 2017 - Marché de Noël à Saint-Jans-Cappel (Flandres)
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Published by La maison des Himalayas
1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 22:32

Tout le monde pense que le mode de vie des bergers nomades est en train de disparaître. Une étude sur le terrain révèle qu’il en va autrement.

Traduit d’un article de Janaki Lenin du 13 janvier 2017 publié sur le site scroll.in

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

« Nos animaux sont des portefeuilles ambulants, » dit fièrement un berger du Kinnaur, en Himachal Pradesh. « Nous n’avons pas besoin de cartes bancaires ni d’argent dans nos poches. Quand nous avons besoin d’argent, nous troquons des animaux. »

Sur les contreforts des Himalayas, des communautés de pasteurs nomades gravissent les montagnes pour échapper à la mousson. Elles font partie des premières populations affectées par le changement climatique. Pendant la première semaine de juin 2016, j’ai accompagné Tarachand Negi* sur un trek dans la Grande Chaîne Himalayenne vers la Pin Valley, au Spiti, avec son troupeau de chèvres. Avec nous il y avait Abhishek Ghoshal, un étudiant en écologie à la Fondation pour la Préservation de la Nature de Mysore, et nos assistants de terrain – Chhering et Padma de Sagnam, au Spiti.

Negi et sa communauté sont sans doute des gens simples – qui soignent leurs animaux, cuisinent des repas frugaux, fument sans arrêt des bidis dans leurs campements isolés – mais pour eux, la menace du changement climatique est visible et réelle même si de puissants hommes d’affaires clament leur scepticisme dans les plus grandes villes du monde.

Une quinzaine de jours avant notre départ, Negi a loué un pâturage de haute altitude auprès de Gopichand, l’un des quelques hommes qui bénéficient de droits de pacage dans la Pin Valley. Celui-ci a hérité des droits d’une pâture près de Khamengar, mais il a arrêté de s’occuper d’animaux il y a des années quand il s’est aperçu qu’il pouvait gagner beaucoup plus en produisant et vendant des pommes. Negi, en revanche, qui ne pouvait pas s’appuyer sur l’horticulture, a poursuivi la tradition de l’élevage. Pour l’utilisation de la pâture de Gopichand pendant trois mois, Negi a payé 25.000 roupies.

Les conditions très dures imposées par la difficulté du terrain ont forcé les communautés montagnardes à s’adapter et se diversifier. Elles ont exploité les ressources proches de leur habitat en pratiquant l’agriculture et utilisé les richesses naturelles des terres éloignées en élevant du bétail. Si les récoltes manquaient du fait des mauvaises conditions météorologiques, elles pouvaient gagner assez en vendant des animaux. Ceci illustre le principe fondamental du pastoralisme nomade : exploiter les ressources qui, sinon, seraient sous-utilisées.

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

La diversification des sources de revenus est également typique de ces communautés montagnardes. L’un des frères de Negi tient une épicerie tandis qu’un autre est Agent de Développement de District. Le fils aîné de Negi a intégré l’armée, un autre étudie au collège de Rampur Bushahr. Un troisième est étudiant dans une grande école. Pendant les trois mois où Negi était parti, sa femme, Pushpa, gérait seule leur famille. Elle s’occupait de leurs deux enfants adolescents, de son beau-père âgé et de sa tante et elle prenait soin des vaches. Elle cultivait des pommes de terre, de l’orge, des oignons et tout ce dont ils avaient besoin – même les feuilles de coriandre dont elle garnissait le dal. Elle est la troisième femme de Negi – les conditions de vie difficiles avaient eu raison des deux premières.

Survivre à l’hiver

Au bas de la vallée rocheuse de Rupi, nous avons rencontré un groupe d’hommes entourés d’une masse tourbillonnante de moutons et de chèvres des villages voisins. Pour un coût de 100 roupies par animal, Negi a accepté de prendre 990 de leurs animaux, en plus des 110 siens, jusqu’au Spiti. Ceci compenserait une partie des frais de pacage payés à Gopichand, tandis que les animaux des villageois profiteraient du riche fourrage des hautes altitudes. Quelques hommes nous accompagneraient sur une partie du chemin.

Dans la fraîcheur de l’aube, les bergers se sont mis en route avec leurs animaux, sifflant et claquant de la langue, leur haleine dessinant des volutes de vapeur. Toute la journée les hommes gardaient un œil sur les animaux qui vagabondaient. Dans la soirée, 10 km plus loin, ils ont atteint un camp en bordure de route. Negi a inspecté le troupeau, soignant les malades et les blessés. La nuit, ils ont monté la garde à tour de rôle pour préserver les animaux des voleurs.

A Wangtoo, site d’un barrage hydroélectrique, ils ont quitté la route très fréquentée pour partir vers le nord dans la vallée de Bhabha. Cette vallée était aussi luxuriante que la leur à Rupi. « Pourquoi quitter ces zones fertiles et faire ce rude trek en montagne ? » j’ai demandé à Negi.

« Ici les plantes sont gorgées d’eau suite aux récentes pluies, » m’a-t-il expliqué. « Ce n’est pas bon pour les animaux. Quand arrive la mousson, les mouches et les moustiques transmettent des maladies. Les plantes de la Pin Valley sont plus nutritives. »

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

La semaine suivante, nous sommes montés depuis les prairies à 2.400 mètres d’altitude jusqu’au Col de Bhabha, gelé, à 4.900 mètres pour entrer dans un désert froid à 3.800 mètres, au Spiti, à l’extrémité occidentale du plateau tibétain. Le jour où nous avons franchi le col, nous avons marché sur des pentes de glace et d’éboulis. Les animaux n’avaient rien à manger. Ils se souvenaient probablement des treks précédents et des plantes nutritives qui les attendaient, et ils avançaient patiemment, les jeunes ne s’éloignant pas.

Dans le passé, les bergers élevaient des races de moutons adaptées aux conditions extrêmes. Il y a quelques décennies, le Département de l’Elevage d’Animaux a introduit des races d’Australie et de Nouvelle-Zélande, meilleures productrices de laine. Negi dit que les races importées n’ont pas survécu aux montagnes indiennes et sont mortes en quelques jours. De toute façon, depuis l’ère de post-libéralisation où on a commence à importer de la laine à bas prix, le marché de la laine s’est effondré.

Au contraire, Negi s’est orienté vers l’élevage de chèvres, qu’il pouvait vendre sur le marché de la viande. Quand son père était éleveur, il n’avait que quelques chèvres locales comme animaux de trait. Chhering, qui se souvenait de les avoir vues quand il était enfant, a dit que les bergers d’alors n’utilisaient pas d’ânes parce que les chèvres étaient aussi grandes. Cette race inhabituellement grande semble avoir disparu ou s’être dissoute parmi les autres races. Les chèvres de Negi étaient de taille moyenne, avec un poil hirsute et des cornes en spirale. Un chevreau de cinq ans atteignait entre 15.000 et 20.000 roupies en boucherie.

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

“Si les chèvres sont aussi lucratives, pourquoi les autres bergers élèvent-ils des moutons ?” lui ai-je demandé.

“On a un retour plus rapide avec les moutons,” m’a-t-il répondu. “On peut les vendre dès l’âge de trois ans pour 8 à 12.000 roupies. Il faut attendre cinq ans pour que les chèvres atteignent leur meilleure taille pour la vente.”

Il y avait une autre raison : les hommes diversifiaient leurs exploitations, les moutons et les chèvres pouvant utiliser des types de pâtures différents.

Risques de maladies

 

Le Département de l’Elevage répertorie les animaux qu’il vaccine mais il n’y a aucun recensement officiel du bétail. Beaucoup de troupeaux, comme celui de Negi, ne sont pas vaccinés par les agences d’Etat. Quand il peut le faire, Negi vaccine ses animaux lui-même. L’hiver dernier, il a subi un revers majeur quand il a perdu environ 25 animaux pour cause de maladie.

“Je ne peux pas augmenter mon troupeau au-delà de 115 têtes quoi que je fasse,” a dit Negi. “Dès qu’on dépasse ce nombre, les animaux tombent malades et meurent.”

Avant le trek, il avait prévu de faire les injections aux animaux mais il a abandonné l’idée quand il a découvert que les vaccins étaient devenus troubles. Il n’avait pas de réfrigérateur pour les stocker et la température moyenne en été dans le Kinnaur était beaucoup plus élevée que la température de conservation recommandée.

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

Cette approche nonchalante de la santé animale entraînait que les maladies voyageaient du Kinnaur au Spiti avec les animaux. De plus il n’y avait aucun registre des nombres d’animaux. Les agents du Département de l’Elevage d’Animaux à Reckong Peo considéraient que le bétail avait diminué en nombre, ainsi que les agents locaux du Département des Forêts. Mais les résidents du Spiti, qui avaient loué leurs pâtures, disaient que beaucoup plus de têtes de bétail arrivaient chaque année du Kinnaur. Les villageois de Rupi disaient que les nombres diminuaient dans leur vallée mais augmentaient dans les vallées voisines. Alors que les bergers d’une région se défaisaient de leur bétail, d’autres les remplaçaient. Après tout, le marché de la viande augmentait au niveau mondial.

Pendant ses longues discussions avec les bergers des vallées de la Rupi et de la Bhabha, Abhishek a réalisé que de en plus plus de moutons et de chèvres se dirigeaient vers le Spiti ces dernières années par rapport aux années précédentes. Ceci avait des implications sérieuses pour l’écologie de la Pin Valley. L’été offrait à la végétation une courte saison de croissance dans ce désert froid. Un broutage intensif par les animaux domestiques ne laissait aux plantes aucune chance de fleurir et de se ressemer. Des plantes non comestibles proliféraient. Ceci ne profitait ni aux moutons et chèvres ni aux bouquetins des Himalayas et aux bharals, les herbivores sauvages natifs de la région. Des carnivores comme les léopards des neiges et les ours bruns tournaient leur regard prédateur sur les nombreux animaux domestiques. Puisque les bergers et leurs chiens gardaient les troupeaux nomades du Kinnaur, les yacks et les chevaux des habitants locaux devenaient des proies.

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

La dégradation des pâtures touchait aussi l’économie des bergers du Kinnaur. Certains cherchaient de nouveaux pâturages dans des régions comme Ensa et Kaza, qui ne leur étaient pas loués auparavant. Pour sa thèse de doctorat, Abhishek a passé les dernières années à comparer les régions broutées et non broutées, pour évaluer l’effet du pastoralisme nomade sur le paysage.

Negi estimait que son exploitation de bétail valait environ 7 lakhs (700.000 roupies) et qu’il gagnerait près de 3 lakhs (300.000 roupies) par an. Il ne pouvait pas tirer autant d’argent des pommes parce qu’il n’y avait pas de route jusqu’à son village isolé. Il devrait utiliser des mules et des ânes et louer des 4X4, ce qui ferait monter les coûts. “De plus, les profits tirés des pommes sont en baisse. Il fait plus chaud dans les zones de basse altitude. D’ici quelques années, ce sera la fin des pommes au Kinnaur.”

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

La dégradation des pâtures touchait aussi l’économie des bergers du Kinnaur. Certains cherchaient de nouveaux pâturages dans des régions comme Ensa et Kaza, qui ne leur étaient pas loués auparavant.

Pour sa thèse de doctorat, Abhishek a passé les dernières années à comparer les régions broutées et non broutées, pour évaluer l’effet du pastoralisme nomade sur le paysage. Negi estimait que son exploitation de bétail valait environ 7 lakhs (700.000 roupies) et qu’il gagnerait près de 3 lakhs (300.000 roupies) par an. Il ne pouvait pas tirer autant d’argent des pommes parce qu’il n’y avait pas de route jusqu’à son village isolé. Il devrait utiliser des mules et des ânes et louer des 4X4, ce qui ferait monter les coûts. “De plus, les profits tirés des pommes sont en baisse. Il fait plus chaud dans les zones de basse altitude. D’ici quelques années, ce sera la fin des pommes au Kinnaur.”

Réchauffement

 

Les échanges sur l’adaptation au changement climatique ont tout juste commencé. Abhishek a discuté des moyens d’augmenter le revenu des bergers sans augmenter le nombre d’animaux, par exemple par la vente de produits lainiers sur le marché international. Tous les bergers auxquels il a parlé ont été d’accord parce qu’ils voyaient déjà les effets d’un paysage surexploité.

A Mud, le premier village sur le trek dans la Pin Valley, Negi a entendu dire qu’un pont de glace sur la rivière Pin avait fondu totalement à cause de l’hiver trop chaud. Il avait besoin de ce passage, aux abords du village de Sagnam, pour atteindre son pâturage. Il a fait pression pour obtenir un autre accès à travers le campement, mais les villageois mécontents se sont plaints parce que les pasteurs amenaient plus d’animaux qu’ils n’en déclaraient et ne gardaient pas leurs animaux dans les limites des pâtures désignées.

Rabroué, Negi a grimpé une montagne et trouvé un autre pont de glace pour rallier ses zones de pâture. Deux semaines après leur départ de chez eux, ses animaux et son équipe de bergers atteignaient leur destination. Tandis que le bétail se gorgeait du riche fourrage, les hommes se débrouillaient avec les rudes conditions de leur campement de fortune.

“J’apprécie d’être dans la Pin Valley,” disait-il. “Je prie beaucoup. Rien que le fait d’être ici nettoie une partie de mes péchés. Là-bas en bas, il y a trop de bruit. Même Dieu ne peut pas entendre les prières.”

Pendant mon retour chez moi, j’ai entendu dire qu’une avalanche avait frappé l’ouest du Tibet, tuant neuf bergers, 350 moutons et 110 yacks. En septembre, une autre avalanche a touché la même région. Quelques mois plus tard, des scientifiques de l’Académie Chinoise des Sciences et de l’Université d’Etat de l’Ohio ont annoncé que la fonte d’eau causée par le changement climatique était à l’origine de la catastrophe. La tragédie a donné un caractère d’urgence à la situation au Spiti. Leur mode de vie adaptable a surmonté les aléas du passé. Cela leur permettra-t-il d’affronter le futur ?

Photo : Janaki Lenin

Photo : Janaki Lenin

* Le nom a été changé sur demande.

Cet article a été subventionné par la Foundation for Ecological Security et Earth Journalism Network.

Traduction : Marie-Dominique Sergent, 30/09/2017

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Published by La maison des Himalayas
26 août 2017 6 26 /08 /août /2017 17:54
Job offer:  a breath of fresh air from the mountains (Development Officer in the field of Disability)

Have you ever been asking yourself, as you ride to work through crowded streets, pollution, noise, whenever you feel useless and powerless in a highly competitive and dehumanized professional environment:  “Can I change this?”

Yes - we have such an opportunity, for a socially responsible person, with a finance background, requisite experience and qualifications, to be discovered in the attached job offer.  Someone who seeks to give, where the need exists while being gainfully employed, and wants to participate in a concept dedicated to rehabilitate differently-abled children. 

Located in a beautiful valley in the Himalayas, Kullu-Manali, Himachal Pradesh, renowned as the “Valley of Gods”, with its four seasons each more beautiful, pristine environs of lofty mountains, deep secluded valleys, and rushing streams and rivers, the “Handimachal Child Development Centre” is waiting for your involvement

Handimachal is an innovative concept for differently-abled children with various specific needs and our motto is to provide treatment, training and empowerment to maximize their quality of life.  

We are also welcoming local candidates with the relevant capabilities in the field of social work, networking and administrative/finance background.

If you have such a calling, to dedicate your time and commitment, then we look forward to hearing from you – and believe us, this may be the experience of your life! 

Application  Process:  Email  your  resume  and  statement  of  purpose  (max  500  words)  to:  handimachal@gmail.com

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6 août 2017 7 06 /08 /août /2017 17:04

Le 31 juillet dernier, la jeune association Save Manali a organisé sa fête annuelle et a invité un certain nombre d'associations locales à mettre en avant leur travail.

L'équipe Handimachal était bien entendu invitée. La video du "mannequin challenge" organisé à Kullu à l'occasion de la journée mondiale du handicap (décembre 2016) a été diffusée sur écran géant. Une partie de l'équipe (Shruti, Rekha, Namrta) et notre ami musicien Sumit Shank ont interprété une oeuvre de leur composition (du moins pour le texte) afin d'exprimer leur ressenti des situations de handicap et leur lutte contre l'ignorance et l'exclusion.

La séquence du mannequin challenge est visible à la minute 27:58 et la séquence musicale à la minute 38:00.

Que le show commence !

Handimachal à l'honneur à l'occasion de la fête annuelle de l'association Save Manali - 31 juillet 2017
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18 juin 2017 7 18 /06 /juin /2017 17:13

Avec le soutien de la société Fantazia, les travaux de consolidation du dernier étage de l'école Saras Pathshala à Bhaktapur, fragilisé par les séismes de 2015, ont commencé.

 

Cette consolidation par une dalle en béton armé était demandée par les autorités locales afin de sécuriser l'école en cas de nouveau séisme. Le dernier étage du bâtiment sera donc maintenant couvert et permettra l'installation d'une cantine pour les enfants, ainsi qu'une cuisine. La dalle permettra également de supporter des panneaux solaires nécessaires à l'autonomie énergétique de l'école.

 

En attendant de vous communiquer les photos qui seront prises par les prochains visiteurs à l'école (et notamment une équipe de scouts de Bordeaux et de Paris, coordonnée par Geneviève Dhainne), nous vous proposons une série de photos reçues d'Indra cette semaine.

 

Merci à tous pour votre aide !

L'équipe de la Maison des Himalayas

Travaux à l'école de l'association TOIT à Bhaktapur (Népal)
Travaux à l'école de l'association TOIT à Bhaktapur (Népal)
Travaux à l'école de l'association TOIT à Bhaktapur (Népal)
Travaux à l'école de l'association TOIT à Bhaktapur (Népal)
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13 juin 2017 2 13 /06 /juin /2017 20:12

Deux ans après les terribles séismes de 2015, la Maison des Himalayas poursuit son action grâce aux généreux donateurs attachés à ce petit pays si fragile et instable à tous points de vue.

 

Coincé entre Inde et Chine, le Népal est l’objet de toutes les attentions (intéressées) de la part de ces deux géants, du fait de son intérêt géostratégique. La dépendance de ce pays à l’égard de ses voisins pour l’acheminement de ressources de base est ainsi soigneusement entretenue. La situation politique reste précaire, malgré l’avènement de la démocratie il y a quelques années, l’arrêt des actions violentes de certains partis, et la promulgation récente d’une constitution : la succession extrêmement rapide de premiers ministres en témoigne actuellement.

 

Le pays est également extrêmement dépendant du travail de ses forces vives obligées de s’expatrier dans les différents pays du Golfe et ailleurs, au Qatar par exemple pour ne citer que ce pays qui fait l’actualité actuellement.

 

C’est partant de ce constat qu’une équipe de jeunes népalais a décidé d’œuvrer à une meilleure éducation afin de lutter contre cette saignée permanente qui concerne une grande partie de la jeunesse, mais qui rapporte au Népal un pourcentage élevé de son PIB.

Nouveau projet au Népal : informatique en écoles rurales dans la vallée de Katmandou

L’axe choisi pour l’année 2017 du projet intitulé CTRN (Computer Training for Rural Nepal, ou Enseignement informatique dans les écoles rurales du Népal) est, d’une part, l’équipement en ordinateurs de 10 écoles rurales gouvernementales de la vallée de Katmandou, à raison de 5 appareils par école, et, d’autre part, la formation des enseignants.

 

En effet, dans ces écoles, l’enseignement de l’informatique (qui fait partie des programmes scolaires) est opéré au tableau noir en l’absence d’appareil, ce qui se passe de tout commentaire…

 

L’équipe a jugé rapidement, après prospection, que fournir des appareils (d’occasion et remis à niveau par l’équipe) ne suffisait pas. Sur le plan matériel, il faut en effet souvent tout d’abord installer un laboratoire avec ses branchements électriques et assurer la maintenance des appareils. Et sur le plan pédagogique, former des enseignants volontaires et leur fournir des documents pédagogiques afin qu’ils soient en mesure de proposer un enseignement de qualité. L’équipe a enfin prévu une évaluation de l’action.

 

C’est donc bien un transfert de compétences que met en œuvre cette petite équipe de 5 personnes composée d’ingénieurs et de techniciens.

 

L’opération a démarré fin 2016 avec la constitution de l’équipe, la recherche d’un sponsor népalais qui met notamment gratuitement des locaux à disposition de l’équipe à Katmandou, et l’élaboration des documents pédagogiques.

 

Une phase test a été menée en janvier et février auprès d’une école de 234 élèves située à Dhulikel où l’équipe était déjà intervenue aux côtés d’une ONG suite aux séismes de 2015.

 

Entrée de l'école gouvernementale SMSS à Dhulikel

Entrée de l'école gouvernementale SMSS à Dhulikel

Une classe à l'école de Dhulikel

Une classe à l'école de Dhulikel

Réunion avec l'équipe enseignante de l'école de Dhulikel

Réunion avec l'équipe enseignante de l'école de Dhulikel

Nouveau projet au Népal : informatique en écoles rurales dans la vallée de Katmandou
Nouveau projet au Népal : informatique en écoles rurales dans la vallée de Katmandou
Nouveau projet au Népal : informatique en écoles rurales dans la vallée de Katmandou

L’action s’est poursuivie en avril et mai avec une école de 141 élèves située à Bungamati.

Journées d'information à l'école de Bungamati (avril-mai 2017)

Journées d'information à l'école de Bungamati (avril-mai 2017)

La première phase du programme couvrira cinq écoles jusqu’en septembre 2017, les élèves concernés allant du niveau de la classe 5 (l’équivalent de notre CM2) à la classe 10 (équivalent de notre classe de 1re de lycée).

La Maison des Himalayas, sollicitée lors du début de déploiement sur le terrain en janvier 2017, s’est engagée dans un premier temps sur le financement de l’achat des ordinateurs. Une convention de partenariat a été établie en mai 2017 et une visite sur place aura lieu en juillet de cette année afin de constater de visu les progrès de l’action.

 

La première évaluation conduite sur deux écoles montre un grand enthousiasme des équipes d’enseignants et la satisfaction de l’équipe initiatrice du projet.

 

Grand merci à nos donateurs qui rendent possibles des engagements tels que celui-ci, et notamment la société Fantazia qui conforte par ce biais son action solidaire au Népal.

Aline Duvicq

Coordinatrice programme CTRN
(Enseignement informatique
dans les écoles rurales du Népal)

Une partie de l'équipe du programme CTRM, à Bungamati

Une partie de l'équipe du programme CTRM, à Bungamati

A bientôt pour des nouvelles de ce nouveau projet au Népal !

A bientôt pour des nouvelles de ce nouveau projet au Népal !

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11 mars 2017 6 11 /03 /mars /2017 09:23

Chers adhérents, chers parrains et marraines, chers amis de l'Himalaya,

 

Notre bulletin d'information, panorama des actions 2016 dans l'Himalaya au Népal et en Inde, est disponible sur notre site internet mais également en pièce jointe à ce message (ci-dessous), n'hésitez pas à le partager.

Bulletin d'information Maison des Himalayas - janvier 2017

Dans ce bulletin, nous avons lancé un appel à nos parrains et marraines pour le règlement de leur adhésion à l'association, nécessaire pour nous aider à assumer en France les frais administratifs (virements bancaires, courriers aux parrains et marraines, impression et envoi du bulletin et des reçus fiscaux, commissaire aux comptes) découlant des programmes engagés là-bas.  

Le bulletin de liaison téléchargeable ci-dessous vous aidera à concrétiser ce geste - merci par avance.

Bulletin de liaison à imprimer et retourner à notre trésorier avec votre chèque d'adhésion ou de don.

Enfin, nous vous informons que l'ensemble des reçus fiscaux 2016 seront envoyés à nos généreux donateurs, adhérents et parrains dans la semaine du 13 mars.

 

Merci à tous pour votre soutien aux communautés de l'Himalaya,

 

Didier Copin, Président

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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 21:53
Chers adhérents,
 
Nous vous informons qu'une assemblée générale extraordinaire sera tenue le 4 février 2017 à 15h00 au 41 rue de Valmy à Roubaix (59100), à l'effet de statuer sur l'ordre du jour suivant: 
 
- nomination d'un commissaire aux comptes titulaire et d'un commissaire aux comptes suppléant,
- pouvoir pour formalités.
 
Très cordialement,
 
Didier Copin, Président
 
 
 
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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 17:54

Chers lecteurs,

 

Nous avons le plaisir de mettre à disposition un diaporama des photos réalisées par un adhérent de notre association lors de sa récente visite à l'école de l'association TOIT à Bhaktapur.

 

L'école Saras Pathshala est une très belle réalisation, grâce à vous tous !

 

L'équipe MdH

 

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